Le directeur général de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT), Dr Adama Ndiaye, a pris part aux États-Unis à la célébration du Bamba Day, un événement qu’il qualifie « d’exceptionnel » et porteur pour le rayonnement du Sénégal à l’international.
« Ce fut une véritable découverte et mes appréciations sont très positives. Le Bamba Day est un événement unique qui mérite un classement à l’UNESCO », a-t-il déclaré.
Le patron de l’ASPT s’est engagé à accompagner cette manifestation religieuse, tant sur le plan technique que financier. « C’est désormais une obligation pour nous de soutenir cette célébration, car elle contribue à promouvoir la destination Sénégal », a-t-il insisté.
Pour Dr Ndiaye, la portée du Bamba Day dépasse la dimension spirituelle : « C’est un moment inédit qui fait rayonner notre pays et s’inscrit pleinement dans nos missions de promotion touristique. »
Le tourisme national a connu un tournant décisif depuis la pandémie de Covid-19, avec un regain d’intérêt des Sénégalais pour la découverte de leur propre territoire. Mais malgré ce dynamisme, le tourisme interne peine à décoller pleinement, freiné par des obstacles majeurs : transport, accessibilité, coût de l’offre, culture touristique encore balbutiante. Dans cet entretien, Adama Ndiaye, Directeur général de l’Agence sénégalaise de promotion touristique (Aspt), revient sur les enjeux, les initiatives en cours et les leviers à actionner pour faire du tourisme un véritable moteur de développement territorial au Sénégal.
Que fait l’Aspt pour promouvoir le tourisme interne au Sénégal ?
Merci de me permettre d’aborder un point très important au- jourd’hui : la promotion du tou- risme intérieur. Il faut d’abord bien distinguer les termes : le tourisme interne concerne uniquement les nationaux qui voyagent à l’inté- rieur de leur pays. Le tourisme in- térieur, quant à lui, englobe éga- lement le tourisme récepteur, c’est-à-dire les visiteurs étrangers qui se déplacent à l’intérieur du pays. Cette distinction est essen- tielle. Le tourisme national se dé- ploie à travers les déplacements des Sénégalais dans le pays. Le tourisme intérieur, lui, englobe tous les flux — nationaux, rési- dents et visiteurs étrangers — qui circulent dans les différentes ré- gions du Sénégal. C’est ce que nous appelons aujourd’hui la ter- ritorialisation du tourisme, afin de favoriser l’impact économique dans les pôles territoriaux.
Les Sénégalais connaissent-ils vraiment leur pays ?
On entend souvent dire que « les Sénégalais ne voyagent pas », qu’ils ne connaissent pas leur propre pays. Mais cette affirmation repose rarement sur des données concrètes. C’est pourquoi, à l’Aspt, nous avons lancé une étude sur l’impact réel du tourisme national, notamment à travers la reprise des statistiques touristiques, qui n’ont pas été actualisées depuis 2019. Depuis la Covid-19, la réalité a beaucoup changé. Ce sont les Sé- négalais et les résidents qui rem- plissent les hôtels de l’intérieur, qui organisent des circuits, des sé- jours. Il y a une vraie dynamique.
Donc, selon vous la Covid a été un tournant pour le tourisme in- terne ?
Absolument. La Covid a été un déclic. Les restrictions de voyage, les risques sanitaires, les confine- ments ont poussé les Sénégalais à se tourner vers leur propre pays. Et en même temps, une classe moyenne a émergé : médecins, enseignants, chefs d’entreprise, startuppers… Ces personnes avaient l’habitude de voyager à l’étranger, mais se sont retrouvées à devoir explorer leur propre ter- ritoire. Cela a créé un engoue- ment. De fil en aiguille, le bouche- à-oreille a fonctionné. Les Sénégalais ont commencé à dé- couvrir l’ « autre Sénégal ».
Il n’empêche, on n’a pas l’im- pression que le tourisme interne est si développé que cela. Quels sont alors les obstacles à son plein essor ?
Le premier facteur bloquant, c’est le transport et l’accès aux sites. Prenons l’exemple de Kédougou
: la desserte aérienne est quasi inexistante. En voiture, c’est 10 heures de route, difficilement fai- sables sur un week-end (Vsd). Il n’y a pas de transport collectif confortable, ni d’aires de repos aménagées. La chaleur, les longues distances, l’état des routes, l’absence de services sur le trajet : tout cela décourage le voyageur. De plus, le parc auto- mobile n’est pas toujours mo- derne, ce qui augmente les risques d’accidents, de pannes, et donc les coûts. Côté avion, l’offre est très limitée : l’armée dessert Tamba ou Kédougou, mais ce
n’est pas viable pour le tourisme. C’est la même chose pour le sud du pays. La Casamance est mal desservie. Le bateau Aline Sitoé Diatta n’est pas toujours fiable. Il y a l’avion (Air Sénégal, Transair), mais les vols sont rares, et beau- coup estiment qu’ils sont trop chers. Et même après l’arrivée à Ziguinchor, il faut encore prendre la route pour atteindre d’autres points d’intérêt, parfois sur des routes dégradées. À Saint-Louis, malgré un aéroport flambant neuf, l’exploitation reste timide. Les vols ne sont pas réguliers, et la route reste difficile. Bref, le prin- cipal obstacle, c’est l’accessibilité.
Mais on ne peut pas évoquer les mêmes obstacles pour les zones touristiques classiques comme Dakar et Saly, etc…
Même dans ces zones, le transport reste un problème. Les embou- teillages sont un facteur découra- geant. Un retour de Saly à Dakar un dimanche peut facilement durer deux heures, voire plus. S’agissant de l’hébergement, cer- tains trouvent les prix élevés. Mais cette cherté s’explique en partie par le coût de l’électricité. Pour éviter de faire face aux coupures fréquentes, les hôtels doivent in- vestir dans des groupes électro- gènes ou des sources d’énergie al- ternatives.
L’accès à l’eau : Pas toujours continu. Cela entraîne des inves- tissements pour le stockage, la ges- tion de la piscine, etc. L’approvi- sionnement : beaucoup de produits ou intrants ne sont pas disponibles localement. La main- d’œuvre technique : Pour faire
fonctionner tout cela, il faut du personnel formé, ce qui engendre des coûts.
Le Sénégalais moyen consomme-t-il vraiment le pro- duit touristique ?
Pas assez. Il y a encore une sous- culture touristique : peu de consommation d’extras (restau- rant, bar, excursions). Et le revenu moyen reste faible. L’hôtelier sup- porte donc seul des coûts fixes élevés, pour une rentabilité sou- vent limitée. Il faut aussi rappeler que le tourisme ne se limite pas à l’hébergement : il y a les circuits, les animations, les excursions. Et cela demande des investissements.
Y a-t-il des initiatives en cours pour améliorer l’offre ?
Oui. À l’Aspt, nous avons signé un partenariat avec Dakar Dem Dikk pour promouvoir des cir- cuits en Vsd (vendredi-samedi-di- manche) dans des zones proches comme Saint-Louis, le delta du Saloum, Kaolack, Touba- couta…Mais pour cela, les voya- gistes locaux doivent s’organiser, retravailler les circuits, offrir des produits attractifs et abordables.
Pourquoi le Maroc est-il souvent cité comme modèle en matière de compétitivité touristique? Peut-on le comparer avec le Sé- négal ?
C’est une comparaison fréquente, mais injuste. Le Maroc a fait du tourisme une priorité nationale, avec des investissements massifs, des stratégies claires et une forte implication de l’État. Ce n’est pas encore le cas au Sénégal. Même
en Casamance, déclarée zone prioritaire, des problèmes persis- tent, notamment l’insécurité ré- siduelle.
Quelles solutions concrètes pour rendre le tourisme plus acces- sible aux Sénégalais ?
Il faut que l’État s’implique da- vantage. Puisque le tourisme a été identifié comme levier de déve- loppement, il faut une stratégie nationale de développement du tourisme intérieur ; un accompa- gnement ciblé des investissements touristiques ; des mesures incita- tives pour les promoteurs locaux
; une stratégie de branding natio- nal ambitieuse ; un benchmark des bonnes pratiques ailleurs. Pre- nons l’exemple du Rwanda. Ils ont misé sur le marketing territo- rial. Aujourd’hui, ils accueillent plus de 40 conférences interna- tionales par an, contre une dou- zaine pour le Sénégal, alors que nous avons plus d’infrastructures et de potentiel. Ce qu’il manque
? Une volonté politique ferme, une culture de consommation touristique, et une production d’offres diversifiées. Le jour où les nationaux s’approprieront le tourisme, les prix baisseront na- turellement par l’effet de la concurrence. En effet, Le Sénégal a tout le potentiel touristique né- cessaire. Il faut maintenant lever les freins structurels (transport, accessibilité, énergie, fiscalité) et stimuler la demande nationale. Le tourisme peut devenir un vé- ritable moteur de croissance en- dogène, mais cela demande une vision claire, partagée et portée au plus haut niveau.
La 37ème édition du Bamba Day s’annonce sous les meilleurs auspices.
À la veille de cette importante célébration en terre américaine, le Directeur Général de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT), Dr Adama Ndiaye, a été reçu en audience par son Éminence Serigne Mame Mor Mbacké.
Les échanges ont porté sur la portée économique et promotionnelle de l’événement, ainsi que sur la richesse du patrimoine de la mouridya, tant au niveau national qu’international.
À l’issue de cette rencontre, les autorités diplomatiques sénégalaises ont convié Dr Ndiaye à accompagner son Excellence Madame Yacine Fall, Ministre de l’Intégration Africaine et des Affaires Étrangères, porteuse d’un message du Président de la République à l’attention de Serigne Mame Mor Mbacké ibn Mourtada.
Conformément à la tradition, le Directeur Général de l’ASPT s’était auparavant rendu à Washington pour présenter ses civilités à son Excellence Monsieur Abdoul Wahab Haïdara, Ambassadeur du Sénégal aux États-Unis. Cette visite a permis de partager les objectifs de la mission et les grands axes de la stratégie de promotion de la destination Sénégal sur le marché américain.
L’Ambassadeur a réaffirmé son engagement à soutenir l’ASPT dans la mise en œuvre de sa campagne de promotion touristique aux États-Unis.
Rendez-vous est donné ce 28 juillet pour la marche pacifique, suivie de la traditionnelle conférence au siège des Nations Unies, autour du thème : Islam, Migration et Crise.
Accueillie à l’AIBD par l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) dans une ambiance festive célébrant la culture sénégalaise, la famille Marley (Cedella, Rohan, Skip, Soule et Saiyan) est au Sénégal pour un séjour symbolique dans le cadre du festival « The Return », organisé par l’association ScenAfric en collaboration avec l’ASPT.
Première étape : l’île de Gorée, où ils ont symboliquement refermé la Porte du Non-Retour, en hommage aux ancêtres, pour ouvrir celle du retour aux sources.
À Touba, ils ont été chaleureusement reçus par le Khalife Général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké, saluant une démarche forte de sens mêlant mémoire, culture et spiritualité.
En foulant le sol de cette ville sainte, les Marley ont ainsi réalisé un voeu longtemps nourri par leur père, pour qui, Cheikh Ahmadou Bamba – Serigne Touba- a été une très grande figure de résistance spirituelle, de combat pour la dignité de l’Homme, et de la réhabilitation des valeurs humaines.
Leur visite chez le Khalif Général des Bayes Fall, Serigne Amdy Khady Fall, marquée par un profond lien avec les disciples de Cheikh Ibrahima Fall, se conclura par un circuit de découverte de Dakar, offert par l’ASPT dans sa mission de promotion du tourisme religieux, culturel et mémoriel.
ASPT et APDA s’unissent pour dynamiser le tourisme sénégalais
L’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) forge un partenariat stratégique avec l’Agence pour la Promotion et le Développement de l’Artisanat (APDA). Cette alliance renforce l’offre touristique nationale tout en valorisant l’artisanat local.
Les deux institutions mutualisent désormais leurs forces pour:
• Propulser l’attractivité de la Destination Sénégal
• Intégrer l’artisanat dans les circuits touristiques
• Développer une offre culturelle authentique et durable
Ce partenariat transforme l’expérience touristique sénégalaise en l’ancrant profondément dans l’identité culturelle nationale et le savoir-faire des artisans locaux.
Dr Adama NDIAYE, le directeur général de l’ASPT dessine en clôture du congrès du CEDIV TRAVEL les nouvelles orientations du tourisme Sénégalais
Après avoir remercié les participants à ce congrès pour leur : « participation dynamique, leur expertise partagée et la qualité exceptionnelle des échanges qui ont enrichi ces journées de travail. » Le directeur général de l’ASPT déclare que : « Le congrès du Cediv s’achève sur une note d’espoir et de renouveau pour notre secteur touristique. »
Nous avons osé vous vous êtes adaptés et nous avons tous gagné
« Ce séjour teinté d’émotion et empreint de solidarité restera toujours gravé dans nos mémoires touristiques. Vos contributions démontrent votre engagement profond envers le développement touristique durable et particulièrement envers la destination Sénégal. »
C’est l’occasion Dr Adama NDIAYE de réitérer que le Sénégal s’engage résolument dans la voie d’un tourisme durable et solidaire.
« Ces journées nous ont permis de concevoir des stratégies novatrices, d’explorer des pistes de collaboration inédites et de renforcer nos réseaux professionnels au service d’un tourisme plus responsable et inclusif. Nos sites exceptionnels, notre patrimoine culturel millénaire et notre biodiversité unique constituent des atouts majeurs que nous souhaitons valoriser dans le respect de nos communautés locales et de notre environnement. »
Le Sénégal s’engage en direction de projets touristiques qui génèrent des retombées directes sur les populations et préservent ses ressources naturelles afin de valoriser son authenticité culturelle.
« Dans cette perspective, nous encourageons le développement d’hébergements écologiques, la formation des acteurs locaux, la promotion de l’artisanat traditionnel et la mise en place de circuits qui favorisent les rencontres authentiques avec nos communautés. Cette approche responsable du tourisme transforme chaque voyage en une expérience enrichissante tant pour nos visiteurs que pour nos populations. »
L’ambition de l’ASPT consiste à créer des synergies lors de cette rencontre afin de favoriser le développement d’une nouvelle démarche touristique franco-sénégalaise.
Dr Adama NDIAYE poursuit devant le parterre des congressistes du Cediv : « Au-delà des simples échanges commerciaux, vous manifestez une réelle volonté de tisser des liens soutenus entre nos nations. Elle ouvre la voie à des partenariats innovants qui respectent l’humain. Je vous invite à maintenir cette dynamique constructive, notamment lors du prochain salon IFTM Top Résa en septembre prochain en France, où nous pourrons approfondir nos échanges et concrétiser de nouveaux projets communs. »
La destination Sénégal semble se situer sur un trend positif à en croire les + 18 % de croissance mesuré par le SETO sur la période allant du novembre 2024 au 30 avril 2025
Dr Adama NDIAYE de conclure : « Au nom du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat , de l’ensemble des collaborateurs de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) et en mon nom
personnel, je formule le vœu que vos initiatives futures rencontrent le succès qu’elles méritent. Continuons ensemble à bâtir un tourisme porteur de sens, créateurs de valeurs partagées et vecteurs d’une conscience plus écologique. »Et de remercier le Cediv :
« Enfin, merci de nous avoir donné cette opportunité d’explorer de nouveaux horizons porteurs d’espooir
Le Sénégal accueille la convention annuelle du CEDIV Travel : Un engagement fort pour un tourisme responsable et solidaire
L’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) annonce l’organisation de la convention annuelle du réseau CEDIV Travel ( Centre d’Etudes des Indépendants du Voyage )au Sénégal du 23 au 28 juin 2025, marquant ainsi un tournant décisif dans la promotion de la destination Sénégal sur le marché français.
Cette rencontre stratégique rassemblera près de 200 professionnels du tourisme français au cœur de la Téranga sénégalaise. Le programme conjugue découvertes écotouristiques et engagements solidaires, reflétant parfaitement l’engagement fort du Sénégal de se positionner comme une destination responsable et durable.
Les participants exploreront la richesse naturelle exceptionnelle du pays, à travers des expériences immersives : safari dans la réserve de Bandia, navigation dans les mangroves du Saloum, observation ornithologique, et découverte de l’île historique de Gorée. Ces activités témoignent de l’engagement du Sénégal dans la préservation de sa biodiversité et la valorisation de son patrimoine culturel.
La convention intègre également un important volet RSE avec des actions concrètes auprès des communautés locales, notamment un projet éducatif dans une école de la petite côte . Cette initiative souligne la volonté du Sénégal de développer un tourisme générateur de retombées positives pour les populations locales.
Le choix du Sénégal par le CEDIV Travel confirme l’attractivité croissante de notre destination et renforce notre position sur le marché français, premier marché émetteur de touristes pour la destination.
Dans le cadre de cet événement majeur, une douzaine de professionnels des médias spécialisés dans le tourisme découvriront les atouts écotouristiques du Sénégal, à travers des circuits distincts mettant en valeur la richesse naturelle et culturelle du pays.
Cette initiative permettra de renforcer la visibilité de la destination Sénégal et d’accroître les opportunités de commercialisation de notre offre touristique sur le marché français.
Renforcement de la collaboration stratégique entre L’ONPTA et L’ASPT
Dans une dynamique de coopération Sud-Sud, la délégation Tchadienne de l’Office National de Promotion , du Tourisme de l’Artisanat et des Arts du Tchad, conduite par son Directeur général adjoint, a rencontré le Directeur Général de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique et son équipe au sein de ladite structure.
Cette rencontre fait suite à un premier échange en 2019 et vise à renforcer les liens entre deux structures poursuivant des objectifs communs. Elle a permis d’identifier des pistes concrètes de collaboration autour de l’accueil touristique, du marketing digital et des stratégies de communication.
Un Mémorandum d’Entente (MoU) est envisagé pour formaliser cette coopération. Les deux institutions prévoient également une participation croisée à des événements comme les festivals Dary et Treg de l’Ennedi, ainsi qu’une collaboration dans le domaine du tourisme religieux et lors de salons internationaux.
Le Festival de Ndiaganiao a poursuivi ses activités avec deux journées riches en échanges intellectuels, en partages d’expériences et en célébration vivante de notre culture.
La présence de M. Malick Ndiaye, Président de l’Assemblée nationale et parrain du festival et de Mme Khady Diene Gaye, Ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture symbolise l’engagement des plus hautes autorités pour la préservation et la valorisation du patrimoine culturel national.
Deux panels de haut niveau ont permis de nourrir la réflexion sur le rôle du patrimoine culturel dans la construction d’un avenir durable.
Le premier a exploré les dynamiques entre traditions et modernité, en interrogeant les enjeux de transmission et d’adaptation du patrimoine aux réalités contemporaines.
Le second, organisé par l’ASPT, a porté sur la redéfinition de l’offre touristique à travers le prisme du patrimoine culturel, gastronomique et des expériences internationales.
Modéré par le Directeur général de l’ASPT, Docteur Adama Ndiaye, il a également permis de présenter les grands axes stratégiques de l’agence, notamment en matière de formation des acteurs et de développement territorial.
Des soirées culturelles animées par des troupes artistiques et musiciens ont clôturé le festival dans une ambiance festive rendant hommage aux savoir-faire traditionnels.
Retour en images sur ces deux journées de réflexion et de célébration.
Du 23 au 29 juin 2025, le Cediv Travel tiendra sa convention annuelle au Sénégal, poursuivant son engagement solidaire et sa stratégie de diversification des destinations.
Le Cediv Travel, réseau d’agences de voyages, organise sa convention annuelle 2025 au Sénégal du 23 au 29 juin.
Cet événement s’inscrit dans la continuité des actions solidaires du réseau, après le succès du trek au Maroc en janvier dernier. Le choix du Sénégal comme destination reflète la volonté du Cediv Travel de faire découvrir des pays riches en culture et en patrimoine.
Cette convention sera l’occasion pour les participants de découvrir les atouts touristiques du pays tout en contribuant à des projets locaux.
Convention Cediv Travel : un programme entre découverte et engagement
La convention se déroulera principalement à l’hôtel Riu Baobab, un établissement 5 étoiles situé sur la Pointe Sarène, au bord de l’océan Atlantique. Ce lieu, encore préservé du tourisme de masse, offre un cadre naturel exceptionnel avec ses plages de sable fin et ses paysages sublimes. Le programme inclut également la visite de sites emblématiques tels que l’île de Gorée, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, et Dakar, la capitale sénégalaise.
L’aspect solidaire est au cœur de l’événement. Comme lors des précédentes conventions, le Cediv Travel prévoit de soutenir des projets locaux en partenariat avec des associations sur place. Ces actions s’inscrivent dans la continuité de l’engagement du réseau, qui avait notamment permis de distribuer des kits d’hygiène dentaire aux familles nomades et de financer la plantation d’arbres dans des écoles locales lors du trek au Maroc.
Une stratégie de diversification des destinations
Le choix du Sénégal pour cette convention s’inscrit dans la stratégie de diversification des destinations du Cediv Travel. Le pays, qui vise à attirer trois millions de visiteurs pour la saison touristique 2023-2024 selon la direction de la promotion touristique du ministère du Tourisme et des Loisirs, offre une variété d’expériences touristiques.
Le Sénégal est présenté comme « une terre de partage et de découverte« , alliant plages infinies, savanes dorées, et une riche culture. Le pays est vanté pour « l’accueil chaleureux de ses habitants, les traditions vivantes et l’histoire captivante« . Cette diversité permet aux agences adhérentes du Cediv Travel de proposer des séjours variés, répondant à différentes attentes des voyageurs, qu’il s’agisse d’aventure, de culture ou de détente.
La convention au Sénégal représente ainsi une opportunité pour les membres du réseau de découvrir une destination aux multiples facettes, tout en participant à une action solidaire. Elle illustre la volonté du Cediv Travel de combiner exploration de nouvelles destinations et engagement social, dans la continuité de ses valeurs et de ses précédentes actions à travers le monde.
Retour en images sur ces deux journées de réflexion et de célébration.
